[ARTICLE] Flora , volontaire à la ligue 42 , Web reporter

 Interview de Flora, Volontaire à la Ligue de l’Enseignement de la Loire 42.

“En cherchant un peu, il y a toujours une solution” 

Flora , réalise un service civique en tant que Web reporter au sein de la Ligue de l’enseignement 42.

 

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? 

Je m’appelle Flora et je suis originaire de Saint-Etienne.

J’ai arrêté l’école au lycée au cours de mon année de terminal donc j’ai simplement le brevet en poche. J’aime beaucoup la musique, et j’en profite en jouent du piano.

Qu’est-ce qui vous a motivé à vous engager dans une mission de service civique ?

En arrêtant mes études je me suis retrouvée un peu perdu, je voulais entrer sur le marché du travail. En cherchant réellement, j’ai découvert le service civique et je me suis alors renseigné. Une occasion de m’occuper et de découvrir le journalisme numérique.

Connaissiez-vous la Ligue de l’enseignement avant cette mission ?

J’en n’avais déjà entendu parler, mais s’en y prêter attention.

En me renseignant j’ai remarqué que c’est un énorme soutien pour les jeunes de 16-25ans qui sont un peu perdu comme moi.

Présentez-nous votre mission.

Ma mission consiste, jusqu’en août, à valoriser l’engagement des volontaires de la Ligue.

C’est à dire que, je vais à leur rencontre, discuter avec eux et crée du contenu journalistique à partir de leur mission, J’ai plusieurs moyens pour ça, en réalisant des articles, interviews ou vidéos.

Je suis rattaché au service « vie associative » de la fédération qui porte la mission engagement jeunesse.

J’ai à ma disposition un blog dédié pour publier mes reportages et interviews ou articles ainsi qu’une chaîne YouTube sans oublier la page Facebook et Instagram des volontaires à la Ligue 42 que je co-anime également.

Beaucoup pense que le service civique se résume à une mission d’intérêt général basique, alors que c’est bien plus profond que ça. Cela développe nos compétences et je m’aperçois que beaucoup ne le savent pas.

Plus globalement, que représente votre volontariat pour vous ?

Sans volontariat,  il n’y aurait pas toute cette aide apporter au gens.

C’est aussi un carnet d’adresses qui s’enrichit grâce à des rencontres que personnes aurais faites en temps normal.

Ça m’a ouvert l’esprit sur la relation aux autres et la notion d’engagement.

La société nous conduit souvent à être égoïstes, mais si on se soucier un peu de ce qui se passe autour de nous, on pourrait aller très loin dans l’avenir.

Que peut vous apporter la Ligue de l’enseignement durant votre mission ?

Des compétences, des contacts et surtout, des points de vue différents.

Cela va me permettre de combattre également ma timidité. Je n’imaginais pas que cela aller susciter tous ses domaines.

Je conseillerais le service civique au sein de la Ligue sans hésiter !

Mais il est primordial de bien choisir sa mission pour s’épanouir et s’investir à 100 %, après cela, ça ne sera qu’une qu’une partit de plaisir pour la suite.

Que dire à un jeune qui serait tenté par le service civique ?

Je lui dirai de ne pas hésiter, car c’est une opportunité qui n’est pas éternelle, de bien choisir son moment, puisque le Service Civique est quelque chose que l’on ne peut faire qu’une seule fois dans sa vie. Et de surtout bien choisir sa mission

 [Article] : Emma, engagée auprès des enfants.

 Interview d’Emma, Volontaire à la Ligue de l’Enseignement 42.   

« Cette expérience apporte beaucoup dans notre vie »

Peux-tu te présenter brièvement ?

Je m’appelle Emma Blanc, j’ai 18 ans, j’ai eu mon baccalauréat scientifique, j’étais dans un lycée en Ardèche. Je devais aller en Angleterre pendant 1 an, mais j’y suis resté que quelque temps, car ça n’allait pas du tout avec la famille d’accueil. Je suis revenu 1 mois après en France. J’ai donc débuté un DUT technique de commercialisation à Saint-Etienne, mais ça ne m’a pas du tout plus. J’ai décidé d’arrêter les études pour prendre un peu de temps pour moi. J’ai postulé pour un service civique dans une école et dans une gendarmerie, j’ai été pris dans les deux, mais j’ai quand même choisi l’école, car l’autre était trop loin.

Comment as-tu entendu parler du service civique ? Et pourquoi t’être engagée ?

Je l’ai trouvé par moi-même dans un premier temps, mais aussi mes amis m’en ont parlé car un d’entre eux voulait en faire un. J’ai donc fait des recherches, puis j’ai assisté à une réunion d’information et cela m’a plus. Le fait que ce soit diversifié et que l’on puisse réellement choisir notre mission, ce que l’on aime, j’ai trouvé ça vraiment pas mal. Je me suis engagée car, comme je l’ai dit plus haut, je voulais prendre un peu de temps pour moi, me sentir aussi utile et me donner à une cause (donc pendant 8 mois de mission). C’est aussi l’occasion de faire mes premiers pas dans le domaine professionnel.

 En quoi consiste ta mission ?

Ma mission consiste à aider les institutrices dans les activités qu’ils font dans la journée. Je suis également la référente des primaires (CM2) pendant les récréations pour un projet « médiateur », car mon service civique est basé sur la gestion des conflits. Avec ma tutrice on l’a mise en place depuis janvier et pour l’instant ça se passe très bien.

Tu as un projet dans cette école ? 

Oui, c’est un projet qui a été pensé par ma tutrice et mises en place par moi.
Le projet est réalisé avec les cm2 (car ce sont les plus grands).

Il y a deux élèves désignés par classe et à chaque récréation ils sont susceptibles d’être sollicités pour faire de la médiation.

Ex : un élève ne veut pas jouer avec un autre.

Les deux élèves qui se disputent vont aller voir les médiateurs (les deux élèves de Cm2 désignés). Puis, par la suite, ils se réunissent tous ensemble dans la salle de médiation et ils discutent du problème avec des règles établies.

J’ai donc créé des affiches pour les aider à régler les conflits par eux même. Quand ils ont trouvés une solution, ils peuvent sortir de la salle de médiation. Le but est de faire prendre conscience à l’enfant que les petites histoires peuvent être vite réglées quand on en discute réellement et sans tarder.
On va par la suite mettre en place des jours de formation pour les médiateurs afin d’avoir quelques retours sur ce qui marche plus ou moins bien.

Je suis la référente de ce projet, c’est-à-dire qu’avant d’aller en salle de médiation, ils viennent me dire quelle est le problème et je juge s’ils peuvent le régler seul ou bien si il y a besoin d’un adulte.

Le contact avec les enfants ce n’est pas trop difficile ? 

Non, je pensais réellement que ça allait être plus difficile. On a toujours des élèves qui demandent plus d’attention, qui sont plus difficile à canaliser, mais il faut être très patient avec eux. (Ça fait beaucoup développer cette qualité ;)). Ça apporte beaucoup humainement !

En quelque mot, présente ton école ? 

Je suis en service civique à l’école de la Jomayère qui fait maternelle et primaire. La partie primaire je n’y vais pas, à part pour les récréations. Pour la maternelle, il y a 5 classes de 23 élèves et moi j’alterne entre 2 niveaux : la moyenne section et la grande section.

Quel aspect de ta mission préfères-tu ?

C’est le fait d’être référente des primaires, de porter mon projet jusqu’à maintenant, j’en suis fière car il fonctionne, les enfants l’on bien compris et l’appliquent.

Que comptes-tu faire après le Service Civique ?

En parallèle de mon service civique, je passe des concours pour être policière. J’ai commencé par le concours d’adjoint de sécurité, j’ai réussi le test écrit et sportif et je passe bientôt l’oral. Par la suite, j’attends d’être appelée pour intégrer une école et ensuite être formée pendant 3 mois. Plus tard j’aimerais passer le concours pour être gardien de la paix, puis passer des concours interne pour monter en grade.

Que dirais-tu as une personne qui veut faire un service civique mais qui hésite ?

Je lui dirais de s’engager s’il ne sait pas ce qu’il veut faire dans l’avenir, puisque c’est un moment où on peut vraiment faire ce que l’on aime.
Ça ouvre d’autres portes, comme l’institut de l’engagement, pour avoir un réseau ou même des bourses. Peu de personnes connaissent cet institut, mais grâce au service civique on peut préparer notre avenir paisiblement.
Je lui dirais aussi que cette expérience apporte beaucoup dans notre vie, que ce soient des rencontres, des souvenirs, de l’expérience ou autres.

 

 

[Article] : Samia, engagée en Service Civique à la Ligue 42, Collège Jacques Prévert.

Interview de Samia, volontaire a la ligue de l’enseignement 42.

 « C’est vraiment ouvert à tout le monde ! »

Peux-tu te présenter brièvement ?


Je m’appelle Samia, j’ai 19 ans. J’ai fait un bac ST2S ( baccalauréat science et technologies de la santé et du social ). J’ai également fait 1an de fac en DUPPS (préparatoire aux professions de santé) que j’ai obtenu ; j’ai donc un bac+1.

Avant le Service Civique, que faisais-tu ?


J’étais à la fac, j’ai fini l’école en mai. En septembre, je devais faire un cap petite enfance, mais à cause de problème administratif ma candidature n’a pas été retenue. Je cherchais du travail en intérim, et pendant mes recherches j’ai trouvé le service civique.

Comment as-tu entendu parler du service civique et pourquoi t’être engagée ?

C’est une amie qui m’en a parlé parce qu’elle aussi en fait un actuellement.Je ne connaissais pas du tout le dispositif. Elle m’a donc expliqué brièvement en quoi cela consistait. Par la suite j’ai fait une réunion d’information à la Ligue de l’enseignement 42 et j’ai postulé à des missions.

En quoi consiste ta mission ?

Je suis au collège Jacques Prévert à Andrézieux-Bouthéon, pour une mission dans le domaine de « l’éducation pour tous ».

Le mardi, j’aide à l’administration, en respectant bien-sûr mon statut de service civique.

J’aide également les élèves à partir de 15h30 à faire leurs devoirs. Ils sont en effectif réduit, c’est plus pratique pour bien les aider.

Puis le mercredi, j’ouvre le CDI, c’est-à-dire que je réponds à leurs questions s’ils en ont, s’ils veulent utiliser du matériel c’est à moi qu’ils s’adressent, ou autre.

Puis le jeudi, je suis avec la documentaliste, je l’aide à faire différentes tâches.

Le contact avec les « jeunes » ce n’est pas trop difficile ?

Non ça va, il faut leur montrer qu’il y a quand même du respect à avoir envers nous, que l’on n’est pas là pour être leur ami, il faut rester professionnel.

Quel aspect de ta mission préfères-tu ?

Ce que je préfère dans ma mission c’est le moment où je suis vraiment au contact de la personne, comme le mardi pendant l’étude avec les élèves.

Que comptes-tu faire après ton Service Civique ? 

Je me suis inscrite sur la plateforme « parcourt supp », mais c’est assez compliquée. J’aimerais aussi être secrétaire médical, ou secrétaire administratif dans le cadre de l’éducation nationale.

Que dirais-tu as une personne qui veut faire un service civique, mais qui hésite ? 

Je lui dirai de ne pas hésiter. Tu rentres dans le « domaine professionnel » qui te plais sans forcément avoir les diplômes nécessaires. C’est vraiment ouvert à tout le monde ! Cela nous fait beaucoup d’acquis supplémentaire! Ça nous ouvre des portes, et c’est une expérience enrichissente.

[Article] : Clara, chaque œuvre a une histoire.

Interview de Clara, Volontaire à la Ligue de l’Enseignement 42. 

 « C’est une expérience où on a le droit de se trompe »

 

Peux-tu te présenter brièvement ?

Je m’appelle Clara, j’ai 22 ans. Je suis en master science de l’art à l’université Jean Monnet à Saint-Etienne et en Service Civique à la Ligue de l’Enseignement 42.

Comment as-tu entendu parler du service civique et pourquoi t’être engagée ?

Je connaissais déjà la structure dans laquelle je suis. À mon retour de l’étranger, je voulais trouver un travail dans une galerie d’art ou un musée. Mais il me fallait aussi un travail pour financer mes études. Je savais que les Limbes (mon lieu de mission) prenaient des volontaires en service civique donc je me suis intéressée à cette éventuelle solution.

En quoi consiste ta mission ?

Ma mission consiste à accueillir les personnes qui viennent pour visiter la galerie, à faire de la médiation culturelle, à monter les expositions avec les artistes, à organiser les vernissages et également organiser les événements liés à la galerie.

Le contact avec les personnes ce n’est pas trop difficile ?

Non ça va ! Puis, comme ça fait partie du métier que je veux faire dans l’avenir, le contact est assez présent.

En quelques mots peux-tu expliquer ce que fait ta structure ?

L’espace « Les Limbes » est un lieu de diffusion et de promotion des arts plastiques actuels et contemporains, géré par l’association Céphalopode.

Quel aspect de ta mission préfères-tu ?

C’est le montage avec les artistes, c’est-à-dire que, dans une exposition globale, tout se monte. Quand les artistes arrivent avec leurs œuvres, ils nous disent où les accrocher, ils expliquent également l’histoire de l’œuvre etc. C’est une partit très manuelle, on « bricole » en quelque sorte.

Que comptes-tu faire après ton Service Civique ?

Après mon service civique, j’espère finir mon master 2. Je compte aussi repartir à l’étranger, plus précisément au Canada pour retrouver aussi un travail dans une galerie d’art.

Que dirais-tu a une personne qui veut faire un service civique, mais qui hésite ?

Je lui dirais qu’il n’y a pas de raison d’hésiter car c’est bénéfique. C’est une expérience où l’on a le droit de se tromper, voir si c’est bien ce que l’on veut faire dans l’avenir ou si on veut changer d’orientation.

[Article] : Au cour de sa lecture, Carole nous raconte son engagement auprès de Lire et Faire Lire.

Interview de Carole, Volontaire à la Ligue de l’Enseignement de la Loire 42.

« Je ne pensais pas avoir une expérience aussi agréable »

Carole s’est engagée  dans une mission de Service Civique auprès de l’association Lire et Faire Lire.

Peux-tu te présenter brièvement ?

Je m’appelle Carole, j’ai 26ans (j’ai signé mon contact, j’avais encore 25 ans 😉 ) j’ai un bac S. J’ai également fait une MANAA (mise à niveau en arts appliqués) a Bellecour école d’art à Lyon puis 2ans de concept art dans la même école (le design du jeu vidéo, et de film d’animation). Je me suis rendu compte que je n’aimai plus parce qu’il y avait beaucoup trop de pression, je me suis donc orientée vers l’histoire, c’est un milieu qui m’intéressai déjà de base.

 Avant le Service civique, que faisais-tu ?

Comme je les dit plus haut j’étais étudiante, mais avec mes soucis de santé j’ai du tout arrêté.

Comment as-tu entendu parler du service civique ? Et pourquoi t’être engagé ?

Tout simplement parce que ma santé ma conduite à être hospitalisé alors que j’étais sur le point de terminer ma licence et que j’avais était accepté dans 6 masters différents. J’ai envisagé à la sortit de mon hospitalisation de trouver un emploi, éventuellement de faire un petit break au niveau des études pour répondre un rythme de vie, donc j’avais 2 possibilités, soit de prendre un CDD soit une amie m’avait parlé d’un service civique qu’elle avait fait et sa lui avait bien plus, je me suis dit comme c’est la dernière année que je suis éligible, pourquoi ne pas tenter.

Pourquoi cette mission ?

J’ai postulé à 3 missions différentes, dont Lire et faire lire qui était une mission qui m’attiré, mais qui concorder pas au niveau des dates de disponibilité. J’ai pu voir pendant la réunion de présentation que la mission était toujours disponible, j’ai donc choisi celle-ci, car j’ai fait plusieurs années de vacation, en bibliothèque, et que je connaissais bien le domaine du livre.

En quoi consiste ta mission ?

Ma mission est très varié, je suis un peu polyvalente, je fais le relai pour les 200 bénévoles de l’organisation de la Loire pour maintenir le contact avec eux, faire en sorte qu’ils ne se sentent pas isolés , j’accueille également les nouveaux bénévoles pour leur expliquer le fonctionnement de l’association, j’aide pour  la partie administrative ( les inscriptions, les conventions avec les écoles) je fais également des lectures pour les enfants, et pour finir les événementielles qui vont arriver comme la nuit de l’handicap ou la fête du livre.

En quelques mots, qu’est-ce que l’association lire et faire lire ?

C’est un projet qui a été mis en place il y a 20 ans par Alexandre Jardin pour inciter les jeunes à avoir le goût de la lecture depuis le plus jeune âge par l’intermédiaire de personne plus âgé.

Comment faites-vous pour acquérir les livres que vous utilisez ?

Pour les livres se sont essentiellement des dons, il y a également les invendus offerts par les librairies. La bourse au livre et les médiathèques de Saint-Étienne qui propose quelque fois des livres à 5 euros. Il y a effectivement une petite bibliothèque qui contient environ 500 documents et des livres dont je dois gérer l’emprunt, mais c’est quand même essentiellement des dons car un album coûte environs 15-20euros et au niveau de l’association on n’a pas forcément le budget.

Quel aspect de ta mission préféré-tu ?

Je dirais globalement un peu tout, parce que j’aime bien l’aspect polyvalent de ma mission, de pas rester sur une seule tache à faire. Aussi le fait de m’occuper des bénévoles, de les aider sur leur choix de livres, puis la lecture aux enfants, les voir s’intéresser et d’avoir des enfants qui au départ vont dire «je déteste la lecture » mais qui à la fin sont ceux qui ne veulent plus partir, et qui vont être dans l’entente d’une séance de lecture prochaine me plais beaucoup.

Le contact avec les enfants, ce n’est pas trop difficile ?

Il faut s’adapter au lectorat, donc moi je fais des séances de lecture avec les 3-5 ans, le plus difficile est de les canaliser. Comme je les dis plus haut il y a des enfants qui m’ont dit qu’ils détestent la lecture, j’ai donc compris que pour cette tranche d’âge il faut des histoires courtes et percutantes. J’ai su m’adapter en matière de lecture, maintenant tous les enfants attendent ça avec impatience. Au départ je faisais 4 livres max maintenant j’en fais 6.

Que comptes-tu faire après le Service civique ?

Mon contrat de service civique a été casser au bout de 3 mois, je vais travailler avec la ligue de l’enseignement pour un CDD de 12 mois.

Je suis très contente parce que j’allais chercher un CDD après mon service civique, en plus de passer mon semestre de fac pour valider enfin ma licence. Ce CDD va consister à aider la coordinatrice de la Loire dans sa mission, en l’allégeant au maximum dans le suivi des bénévoles et également faire quelques animations complémentaires sur le thème des parcours citoyen (l’égalité homme-femme, la laïcité pour les jeunes enfants.

Que dirais-tu as une personne qui veut faire un service civique, mais qui hésite ?

Je lui dirai de ne pas hésiter, de se renseigner, que je ne pensais pas avoir personnellement une expérience aussi agréable, que j’ai rencontré des personnes dans le cadre du service civique que ça soit des bénévoles, d’autres services civiques qui sont adorables et hyper sympas. Il faut oser, par exemple pour les personnes en décrochage scolaire, cela peut les aider, leur faire une bonne pose et être l’occasion de voir le monde du travaillent, sans y être vraiment, mais de pouvoir expérimenter des choses que l’on n’aurait pas l’occasion de faire en temps normal.

[Article] : Marine , volontaire à la ligue 42

Interview de Marine , Volontaire à la Ligue de l’Enseignement de la Loire 42.   

« Il faut toujours essayer ! »

Engagé dans un service civique au sein du foyer laïque du Chambon Feugerolles.

 

Peux-tu te présenter brièvement ?
Je m’appelle Marine, j’ai 21 ans, j’ai fait un bac S, mais je ne l’ai pas eu malheureusement.

Avant le Service Civique, que faisais-tu ?
Je m’étais inscrite à la mission locale dans le domaine du sport, car je veux être coach sportif, mais je n’ai pas trouvé de travail car sur mon cv il manquait beaucoup de compétences. C’est dur de trouver du travail quand on n’a pas forcement d’expérience.

Comment as-tu entendu parler du service civique ? Et pourquoi t’être engagée ?
J’ai entendu parler du service civique grâce à ma conseillère de la mission locale. Elle m’a dit que cela serait une ouverture pour moi et mon travail.
Je me suis engagée pour avoir plus d’acquis dans le domaine du sport et développer d’autres compétences.

En quoi consiste ta mission ?
Ma mission est séparée en plusieurs tâches : je peux aider à donner des courts d’informatiques aux personnes âgées, cela concerne plus le domaine du social. J’aide également le président du basket à monter différents partenariats avec des entreprises pour qu’ils nous aident à financer notre activité sport.  J’aide pour les animations (les fêtes organisées, etc.) et j’accompagne les coachs pendant les temps de match.

Quel aspect de ta mission préfères-tu ?
C’est le moment où j’apprends aux personnes (Ex : comme pour les personnes âgées) le milieu du social également, mais tout ce qui concerne le sport aussi bien sûr !

Que comptes-tu faire après le Service Civique ?
J’aimerais bien faire une formation, un BPJEPS (brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport) option musculation haltérophilie, mais vue qu’elle coûte très cher il va falloir que je travaille pour la financer.

Que dirais-tu as une personne qui veut faire un service civique, mais qui hésite ?
Je lui dirai que c’est une expérience à faire, surtout s’il ne sait pas forcement ce qu’il veut faire dans l’avenir, c’est comme une ouverture professionnelle, il faut toujours essayer !

La ressourcerie du Lycée professionnel des monts des lyonnais et de ces partenariats     

Inauguration de la ressourcerie du Lycée professionnel des monts des lyonnais et de ces partenariats

La RESSOURCERIE est une structure conventionnée par l’Etat en Atelier d’Insertion, créée en 2011 par l’association ETAIS et portée aujourd’hui par l’association de la RESSOURCERIE DES MONTS DU LYONNAIS.

Sa mission principale est de permettre à des personnes en difficultés sociales et professionnelles de reprendre une activité professionnelle.

Ils agissent en faveur du développement durable en prônant la réduction des déchets et limiter la surconsommation.

Ils exercent 4 actions au sein de leur structure :

  • Collecter: (Auprès des particuliers & des Professionnels) : Vaisselles, meubles, bibelots, textiles, livres, jeux … en bon état … tous les objets dont nous avons plus l’utilité.
  • Valoriser :Triés par les salariés, les objets sont orientés selon leur état vers le magasin pour être vendus, dans leur atelier pour être réparés, ou dans des filières de revalorisation pour être recyclés.
  • Vendre :Ils nous accueillent dans leur magasin de Chazelles sur Lyon et de Saint Symphorien sur Coise pour farfouiller, et acheter des objets divers et variés et meubles de qualité.
  • Sensibiliser :Des actions de sensibilisation sont organisées par la RESSOURCERIEautour des thèmes du développement durable, de l’économie sociale et solidaire et de la réduction des déchets à destination du public scolaire (école primaire, collège, lycée), du monde professionnel et des collectivités.

La RESSOURCERIE porte plusieurs projets dans des domaines culturelles, éducatives, écologiques, sociales, économiques (Economie Sociale et Solidaire) et de développement :

  • Sensibiliser aux gestes éco-citoyens de réduction des déchets :

Consommer autrement, recyclage, tri, ré-utilisation, etc…

  • Créer des emplois et favoriser l’insertion professionnelle : La RESSOURCERIEa pour mission d’accompagner des personnes éloignées de l’emploi vers une insertion professionnelle pérenne.
  • Créer un commerce solidaire et de proximité :

A but non lucrative, la RESSOURCERIE c’est aussi la revente à prix équitables, modérés et accessibles a tous.

  • Un commerce, une filière professionnelle et une activité associative participant au développement de nos communes et de la région.

 

Après avoir été expertisés et contrôlés, les objets sont revendus dans la boutique de Chazelles sur Lyon.

On peut y trouver Vêtements (homme, femme, enfant), objets, déco, petit électro-ménager, jeux – jouets, bijoux, livres, vaisselles, matériels de puéricultures …

 

La Ressourcerie est en partenariat également avec « l’ARRIERE BOUTIQUE »

L’Arrière-Boutique a ouvert ses portes le 15 novembre dernier dans l’espace de vente de l’ancien musée du chapeau. Elle ouvre en partenariat avec le Lycée des Monts du Lyonnais. C’est un espace totalement différent puisque c’est une boutique pédagogique permettant de créer des situations concrètes de travail pour former les salariés de la Ressoucerie et les jeunes du lycée aux métiers du commerce et de la vente, de la gestion logistique et administrative.

Ils y vendent des meubles aérogommés, des objets vintages, des créations originales et un panel de produits locaux.

 

Des producteurs locaux étaient présents pour l’événement afin d’exposer leurs produits et plus particulièrement ceux commercialisés dans la boutique.

 

Pour l’inauguration de la ressourserie et de s’est partenariat, un petit buffet était présent.

Pour les contacter :

09.82.35.90.72

contact@ressourcerie-lebonplan.fr

14 Rue de Saint-Galmier 42140 , Chazelle s/ Lyon

 

[ARTICLE] Lucas , le sport virtuel jusqu’au sport réel.

Interview de Lucas, Volontaire à la Ligue de l’Enseignement de la Loire

« C’est une expérience enrichissante »

Engagé au sein de l’UFOLEP Loire, dans les locaux de la Ligue de l’Enseignement 42 pour une   mission de 8 mois, Lucas apporte son aide au développement de l’E-Sport au sein de la fédération sportive.

 

Bonjour Lucas, peux-tu te présenter brièvement ?

Salut, moi c’est Lucas,  j’ai 20 ans et je suis stéphanois. J’ai un BTS ERPC : « Etudes de Réalisation d’un Projet de Communication » en poche que j’ai fait à Grenoble. Sinon je suis passionné de jeux vidéo, de dessin et j’aime le sport.

Comment as-tu entendu parler du service civique ?

Des amis m’avaient conseillé de le faire et ma famille me l’a recommandé, je me suis renseigné sur internet par la suite, et ça m’a tout de suite intéressé !

Qu’est-ce qui t’a encouragé à t’engager ?

Après mon BTS je n’ai pas été pris dans les licences pro que je voulais donc j’ai décidé de me réorienter dans un domaine qui me passionnait plus.

Le service civique est une très bonne opportunité qui me laisse le temps de réfléchir et vivre une expérience unique et enrichissante.

En quoi consiste ta mission ?

Ma mission se déroule au sein de l’Ufolep Loire. C’est une fédération sportive sur tout le département.

Mon rôle c’est d’aider au développement de l’E-sport au sein de l’Ufolep, je propose des animations sur le sport virtuel jusqu’au sport réel.

Dans un premier temps quand j’ai débuté mon tuteur avait déjà mis en place l’animation donc j’ai continué à la développer en proposant des nouvelles idées.

Je devais réfléchir sur quel jeu vidéo j’allais travailler et par la suite l’associer à un sport réel, car le but de l’animation c’est de faire le lien entre le sport réel et le sport virtuel.

On est équipé de deux ps4 et deux wii. Nos animations sont destinées à un public de 8 à 98 ans. Elles sont proposées aux jeunes dans les centres de loisirs, les amicales laïques mais aussi dans les EHPADS et les maisons de retraits.

J’aide également à la mise en page et à la création de flyer pour faire connaître les animations E-sport ! Puis, il y a la partie intervention, quand les animations sont finalisées puis prêtes, on fait des interventions dans différents endroits où je peux aider.

Quel aspect de ta mission préfère-tu ?

C’est la partie animation, parce que c’est quelque chose que je n’avais jamais fait auparavant avec les jeunes. Il y a beaucoup d’étapes, un long déroulement mais pour le résultat final c’est vraiment bien.

 Quelles sont les qualités nécessaires pour cette mission ? 

Aimer le sport bien sûr, aimer également les jeux vidéo, le contact avec les personnes et être motivé !

Que dirais tu as une personne qui veut faire un service civique ?

Je lui dirais qu’on ne le fait qu’une fois dans sa vie donc de bien choisir son domaine, de faire ce qui lui plait. C’est une expérience enrichissante, on rencontre de nouvelles personnes alors que sans ça , ça ne serait jamais arrivé, puis on découvre de nouvelles choses.

 

[Interview] Saouirdine et Léa : 2 Missions distinctes pour 1 Projet social et solidaire.

La première saison de cette série d’interview des Volontaires de la Ligue 42 se conclue avec ce quatrième épisode. Aujourd’hui, rencontre avec Saouirdine et Léa qui nous parle de l’Accorderie de Saint-Étienne, de Rue du Développement Durable et surtout du renouvellement du quartier Crêt de Roch !

YouTube player

L’Accorderie sur les réseaux :

https://www.facebook.com/TTADSTE/

http://www.accorderie.fr/saintetienne/

 

RDD sur les réseaux :

https://www.facebook.com/rue.robert/about?section=bio&lst=100001873196822%3A100014898009336%3A1564063372

Présentation